Parmi les coupables pointés du doigt par les spécialistes, deux modes de vie ressortent particulièrement : une alimentation trop riche en protéines et le manque d’activité physique. Et ce duo, très répandu chez les jeunes adultes, pourrait bien expliquer l’augmentation des cas précoces d’insuffisance rénale.
Halte aux régimes qui en demandent trop à vos reins
Envie de sculpter son corps avant l’été ou de tester le dernier régime à la mode ? Beaucoup se tournent vers des repas très protéinés et des compléments alimentaires prometteurs. Problème : un excès de protéines, surtout d’origine animale, augmente la production de déchets azotés que les reins doivent éliminer.
Ajoutez à cela les aliments fortement transformés — riches en sel, en sucre et en additifs — et vous obtenez une véritable surcharge de travail pour vos reins. Résultat ? Un risque accru de déséquilibres internes, voire de petits cailloux bien douloureux (les fameux calculs rénaux).
Petit rappel utile : un plat fait maison, coloré, à base de produits frais, fera bien plus pour votre silhouette et vos reins qu’un shaker avalé à la va-vite.
Sédentarité : l’ennemi silencieux de vos organes vitaux
Rester devant un écran de 9h à 23h ? Ce n’est pas juste mauvais pour la posture. C’est aussi un terrain favorable à des troubles comme l’hypertension ou le diabète, deux grandes causes de l’usure rénale prématurée. Bouger un peu chaque jour, même sans aller à la salle, permet de stimuler la circulation sanguine et de préserver le bon fonctionnement des reins.
Et si on remplaçait 30 minutes sur Instagram par une marche en plein air, un cours de danse dans son salon ou même un bon ménage rythmé en musique ? Vos reins vous diraient merci.
