Obésité et syndrome métabolique – La grande tromperie

Obésité et syndrome métabolique – La grande tromperie.

L’obésité n’est pas un trouble alimentaire.
Ce n’est ni une faiblesse de volonté, ni un manque de discipline, ni un signe de paresse.
C’est un symptôme, une vocation.

Un état d’urgence biologique propre à une civilisation qui a oublié l’essentiel :
le rythme de vie.

Quiconque parle d’obésité doit évoquer bien plus que cela :
les hormones, la faim, la mémoire de la douleur, la résonance cellulaire, les traumatismes systémiques – et une société qui méprise le corps au lieu de le comprendre.

Le syndrome métabolique n’est pas une maladie unique, mais un ballet défaillant de quatre facteurs qui se renforcent mutuellement :

– Résistance à l’insuline
– Obésité viscérale
– Hypertension artérielle
– Dyslipidémie.

Ces quatre facteurs forment un concert malsain – mais pas spontané.
Ils sont l’écho d’un champ perturbé.

L’axe leptine perturbé :

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