Pas de smartphones, pas de réseaux sociaux, pas de confirmations de lecture pour stresser : dans les années 70, les amitiés se vivaient autrement. Plus spontanées, plus simples, mais aussi plus profondes, elles semblent avoir laissé derrière elles un parfum de sincérité qu’on peine parfois à retrouver aujourd’hui. Alors, qu’avaient-elles de si particulier ? Et surtout, peut-on en tirer des leçons pour nos vies ultra-connectées ?
La magie d’une communication 100 % humaine

À cette époque, la technologie ne dictait pas le rythme des échanges. Les conversations avaient lieu face à face, dans la cour de l’école ou autour d’un café, ou bien par le téléphone fixe posé sur un meuble du salon. Et pour les plus créatives, il y avait les lettres manuscrites, parfois parfumées ou ornées d’un petit dessin.
Résultat : chaque mot, chaque geste comptait. On savourait l’attente d’un appel ou le plaisir d’ouvrir une enveloppe. Rien à voir avec les messages instantanés d’aujourd’hui qui, bien que pratiques, manquent parfois de chaleur et de présence.
